La Laiterie du Climont, par son histoire et son indépendance de tous groupes financier ou industriel souffre du même défaut que de nombreuses PME familiales : c’est le manque de fonds propres.
Cette situation entraîne des freins aux développements de nouveaux produits et des réticences dans les soutiens bancaires ainsi que des frais financiers élevés.
Nous réfléchissons à ouvrir partiellement notre capital à des formes associatives d’investisseurs qui se préoccupent aussi de qualité alimentaire, de valeur ajoutée sociale et environnementale : un genre d’investissement de proximité où l’investisseur peut suivre l’usage de ses fonds … des dispositions fiscales incitatives peuvent éventuellement favoriser des opérations de ce type (nous pensons aux réductions d’impôts pour investissement en PME ou aux dispositions fiscales propres à l’ISF).
La réflexion en est à ses débuts, là aussi, nous pouvons peut-être innover, pour ces réflexions, contacter en toute simplicité Annette ou Christian Haessig.